Afin de protéger les droits des Parties à la procédure, conformément aux dispositions juridiques pertinentes telles que le Code de procédure civile de la République populaire de Chine et certaines dispositions de la Cour populaire suprême relatives à la preuve dans les procédures civiles (ci – après dénommées « dispositions relatives à la preuve»), les questions relatives à la preuve Dans les procédures civiles sont désormais abordées comme suit:
I. répartition de la charge de la preuve
1. L’action intentée par le demandeur ou la demande reconventionnelle déposée par le défendeur doit être accompagnée des éléments de preuve pertinents qui remplissent les conditions requises pour l’action.
Les parties sont tenues de prouver les faits sur lesquels se fonde leur demande d’action ou sur lesquels se fonde la demande de l’autre partie. Ce qui n’est pas prouvé ou ce qui n’est pas suffisant pour prouver les faits allégués par les parties, c’est la partie qui a la charge de la preuve qui en souffre.
II. Demandes d’enquête devant la Cour sur les circonstances et les exigences en matière de collecte de preuves
1. Les éléments de preuve recueillis par les parties et leurs mandataires qui peuvent demander une enquête judiciaire sont:
(1) Les éléments de preuve recueillis dans le cadre d’une demande d’enquête sont des documents d’archives conservés par les services compétents de l’État et qui doivent être saisis d’office par le tribunal populaire.
(2) Matériel impliquant des secrets d’État, des secrets commerciaux, la vie privée.
(3) les autres documents que les parties et leurs mandataires ne peuvent pas recueillir eux – mêmes pour des raisons objectives.
Les Parties et leurs mandataires qui demandent au Tribunal de procéder à une enquête en vue de recueillir des éléments de preuve présentent une demande écrite indiquant les circonstances essentielles telles que le nom ou le nom de l’unité ou du domicile de la personne faisant l’objet de l’enquête et indiquant les raisons pour lesquelles les éléments de preuve ne peuvent être recueillis, les éléments de preuve actuels, le contenu des éléments de preuve à recueillir et les faits à prouver.
3. Les Parties et leurs agents plaidants qui demandent au tribunal populaire d’enquêter sur la collecte des preuves doivent présenter une demande écrite et au plus tard sept jours avant l’expiration du délai de preuve. Le tribunal populaire examine le coût de la collecte des éléments de preuve, qui est avancé par la partie requérante dans un délai de sept jours à compter de la date de la demande, et n’est pas autorisé à présenter sa demande à l’expiration de ce délai.
Iii. Délai de présentation des preuves et conséquences juridiques de la présentation tardive des preuves.
1. Les Parties déposent leurs éléments de preuve dans le délai indiqué dans l’avis de preuve signifié par le Tribunal. Si une partie tarde à produire des éléments de preuve, le Tribunal lui ordonne de justifier son refus de le faire ou si les motifs ne sont pas fondés, le tribunal peut, selon les circonstances, soit rejeter ces éléments de preuve, soit les admettre sous peine d’une injonction ou d’une amende.
2. Si une partie éprouve des difficultés à présenter des éléments de preuve dans le délai imparti pour la présentation de la preuve, elle peut, dans ce délai, demander au tribunal populaire de proroger ce délai, qui est dûment prorogé à la demande de la partie.
La demande d’identification d’une partie doit être présentée dans le délai imparti pour la preuve et les frais d’identification doivent être avancés dans un délai de sept jours à compter de la date de la demande, et si la partie n’a pas été identifiée parce que les frais d’identification n’ont pas été avancés dans le délai imparti, elle supporte les conséquences juridiques de l’impossibilité de prouver.
4) les parties demandent la comparution d’un témoin, qui doit être déposé dix jours avant l’expiration du délai de présentation des preuves et avec l’autorisation du Tribunal populaire. Les frais raisonnables engagés par la partie qui a fourni le témoin pour témoigner devant elle dans les sept jours suivant la demande ne sont pas admissibles à la demande de celui – ci s’il n’a pas été remis à l’échéance.
Les parties peuvent aviser la Chambre requérante de la comparution d’une personne ayant des connaissances spécialisées pour présenter des observations sur l’expertise ou les questions professionnelles formulées par l’expert. Si la Chambre accorde sa demande, les taxes en question sont remises à l’avance par la partie requérante dans un délai de sept jours à compter de la date de dépôt de la demande et ne sont pas remises à l’échéance, la demande ne lui est pas accordée.
Iv. Exigences en matière de preuve dans les litiges maritimes
I) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages résultant d’une collision avec un navire
1. Situation de base du navire et de son équipage: Certificat de propriété du navire, certificat de nationalité du navire, certificat de classification, certificat de navigabilité de la coque et des turbines, certificat d’équipement de sécurité du navire, certificat de jauge, certificat d’immatriculation hypothécaire du navire, certificat de navigabilité de l’équipage, certificat d’équipage minimal, etc. certificat principal du navire en collision;
2, Journal de bord, Journal des turbines, enregistrement de l’horloge, enregistrement de cap, cartes marines et autres documents principaux des navires en collision;
3. Matériel de preuve de la navigation des navires lors de leur rencontre.
4, avant et au moment de la collision.
5, schéma de collision de navire.
Enregistrement de la surveillance radar du passage de la collision par le système de gestion du trafic maritime;
7, transcription des enquêtes des autorités administratives maritimes sur l’équipage du navire en collision et rapports d’enquête, etc.
8. Les documents de transport tels que les manifestes, les lettres de transport ou les connaissements et les documents de circulation à bord;
9, matériel pour prouver la situation de perte de collision.
10, preuve du lien de causalité entre la faute et les dommages causés au navire.
Ii) litiges relatifs à la responsabilité pour dommages causés par contact avec un navire
1. Situation de base du navire et de son équipage
2 – le fait que l’acte de toucher se produit
3, situation de perte de contact
4, preuve du lien de causalité de l’acte fautif avec le fait dommageable
(III) Dommages causés aux installations aériennes par des navires, litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés aux installations sous – marines
1. Situation des navires concernés
2. Comportement fautif du navire
3. Détermination des dommages causés aux installations aériennes et sous – marines et du montant des pertes
4. Preuve du lien de causalité entre le comportement fautif et le résultat du dommage
Iv) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages dus à la pollution par les navires
1, reçu de premier officier, connaissement, rapport d’inspection commerciale, registre d’huile, Journal de bord, Journal de turbine, registre de chargement et de déchargement, rapport d’espacement et images satellite, etc.
2, comportement des navires en cas de déversement, de fuite, de déversement d’hydrocarbures, d’eaux usées ou d’autres polluants
Heure, lieu, calendrier ou extrait du Journal de bord de la décontamination
4, la main – d’œuvre, les outils, les navires, la quantité de matériel de décontamination, le prix unitaire et la méthode de calcul des intrants de décontamination
5, frais de gestion de l’Organisation de la décontamination, les frais de transport et les documents justificatifs pour d’autres dépenses
6, effet de décontamination et rapport de situation, etc.
(v) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés à l’élevage en mer et dans les eaux navigables
1. Informations sur l’immatriculation des navires des Parties
2. Infraction ou faute du navire
3. Causer des dommages à la pêche, aux installations d’élevage et aux animaux d’élevage en mer et dans les eaux navigables
4. Base de calcul de la perte et détermination du montant
Vi) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés aux biens en mer ou dans les eaux navigables
1. Infractions résultant de la production ou des opérations effectuées par des navires ou en mer
2. Faits causant des dommages au navire, à la cargaison ou à d’autres biens
3. Preuve du lien de causalité entre la violation et le fait dommageable
4. Critères de calcul et montant des dommages
Vii) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages corporels en mer ou dans les eaux navigables
1. Preuve de l’identité des Parties
2. Le fait que les dommages corporels se produisent en mer ou dans les eaux navigables
3. Preuve de la relation contractuelle ou délictuelle avec le défendeur
4, preuve des frais médicaux, des frais de transport, des frais de travail incorrects, etc., encourus par des dommages corporels
5, certificat de niveau de déficience
(VIII) litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés aux navires, aux marchandises à bord, aux carburants marins et aux matériaux marins
1. Preuve de l’identité des Parties
2, le fait que des biens tels que des navires, des marchandises, etc. sont détenus
3. Le privilège constitue une violation des dispositions légales ou des documents contractuels
Ix) litiges relatifs à des contrats de transport de marchandises par mer ou dans des eaux navigables
1, matériel d’identification des Parties
(1) Si la partie est une personne physique, les documents d’identification, tels que la carte d’identité ou le livret de ménage, doivent être présentés
(2) Si les parties sont des personnes morales ou d’autres organisations, les informations d’enregistrement telles que les licences d’exploitation, les certificats d’enregistrement des sociétés, etc.
Contrats de transport de marchandises par voie navigable et commissions rogatoires (y compris les sous – commissions), lettres, messages de données (y compris télégraphe, télex, télécopie, EDIFACT et courrier électronique) attestant la Constitution du contrat ou se rapportant à son contenu
3. Lettre de voiture ou document accompagnant la lettre de voiture par le chargeur
4, le reçu délivré par le destinataire; Lorsqu’il s’agit de transport de conteneurs, il convient de recueillir la lettre de caisse ainsi que le document de remise
En cas de dommage ou de perte des marchandises, les registres de fret ou les factures des marchandises, les rapports de livraison, les contrats de vente et d’achat, les rapports d’inspection commerciale et d’autres éléments de preuve prouvant les circonstances du dommage sont réunis.
6. En cas de retard de livraison des marchandises, les éléments de preuve concernant la base contractuelle du retard et les faits du retard sont réunis
7, en ce qui concerne le fret et les litiges relatifs aux frais de boîte en retard, des preuves doivent être fournies concernant le tarif, l’accord tarifaire, la fonction de confirmation du fret, le fax, la facture de transport payée, la liste de transport, la liste de livraison, le calcul des frais de boîte en retard et le paiement des accords pertinents.
8. Preuve pertinente de la navigabilité et de la capacité de chargement du navire
Les documents prouvant que le transporteur est autorisé à opérer (par exemple, permis de transport par voie navigable, permis de service de transport par voie navigable, etc.); L’expéditeur doit remettre les pièces justificatives de l’autorisation de transport conformément aux lois et règlements, etc.
Autres preuves pertinentes.
(X) litiges relatifs aux contrats de transport de voyageurs par mer, en eaux navigables
1. Identité et qualifications des Parties
Contrat de transport ou autres pièces justificatives justifiant la relation contractuelle de transport
3. Questions et actes des Parties non conformes à la Convention contractuelle ou à la loi
4 les circonstances qui causent des pertes
Xi) litiges relatifs aux contrats de transport de bagages par mer ou en eaux navigables
1. Preuve de l’identité des Parties
2. Preuve de la relation contractuelle de transport
3, liste de transfert de bagages
Actes ou faits contraires à une convention contractuelle ou à une disposition légale
5 les circonstances qui causent des pertes
Xii) litiges relatifs aux contrats de gestion de l’exploitation des navires
1. Preuve de l’identité des Parties
2. Informations sur l’immatriculation des navires: Certificat de propriété du navire, certificat de nationalité du navire, certificat de classification, certificat de navigabilité de la coque et de la turbine, certificat d’équipement de sécurité du navire, certificat de jauge, certificat d’enregistrement hypothécaire du navire, certificat de navigabilité de l’équipage, certificat d’équipage minimal, etc.
3. Contrat ou attestation connexe concernant la gestion opérationnelle du navire
4. Violation par une partie d’une convention contractuelle ou d’une disposition légale
Pertes ou conséquences négatives
Xiii) litiges relatifs aux contrats de vente et d’achat de navires
1. Identité des Parties
Informations sur l’immatriculation du navire: Certificat de propriété du navire, certificat de nationalité du navire, certificat de classification, certificat de navigabilité de la coque et de la turbine, certificat d’équipement de sécurité du navire, certificat de jauge, certificat d’immatriculation hypothécaire du navire, certificat de navigabilité de l’équipage, certificat d’équipage minimal, etc. certificat principal du navire en collision;
3. Contrat d’achat et de vente de navires
4, certificat de paiement du navire
5. La violation par une partie d’une convention contractuelle ou de faits prévus par la loi.
6, preuve des circonstances qui ont causé le dommage
Xiv) litiges relatifs aux contrats de construction navale
1. Preuve de la situation de base des Parties
2. Contrat de construction de navires
Liste des matériaux de construction et facture d’achat
4, certificat de paiement des travaux
5. Violation par une partie d’une convention contractuelle ou d’une disposition légale
6. Causer des dommages ou des pertes
XV) litiges relatifs aux contrats de réparation navale
1. Preuve de l’identité des Parties
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3. Preuve de la relation contractuelle entre les parties concernant la réparation du navire
4, paiement des factures de réparation
5. Violation d’un contrat ou d’une disposition légale
6 les circonstances qui ont causé la perte ou le dommage
Xvi) litiges relatifs aux contrats de modification de navires
1. Preuve de l’identité des Parties
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3. Contrat de modification des navires
4, paiement des factures d’ingénierie
5. Le fait que les parties ont violé une convention contractuelle ou une disposition légale
6 – cas de perte ou de dommage
XVII) litiges relatifs aux contrats de démantèlement de navires
1. Identité des Parties
2. Contrat de démantèlement du navire ou pièces justificatives connexes
3. Le fait que les parties ont violé une convention contractuelle ou une disposition légale
4. Perte ou dommage causé
XVIII) litiges relatifs aux contrats d’hypothèque sur les navires
1. Identité des Parties
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3, contrat d’hypothèque de navire et certificat d’enregistrement d’hypothèque
4. Le fait que les parties ont violé une convention contractuelle ou une disposition légale
XIX) différends relatifs aux contrats d’affrètement
1. Preuve de l’identité des Parties
2, contrat d’affrètement de voyage, confirmation d’affrètement et autres documents contractuels
3, connaissement, grand reçu etc. document de transport
4, diagramme d’arrimage, enregistrement des faits de chargement et de déchargement et autres documents de chargement et de déchargement, etc.
5, informations de base du navire: Certificat de propriété du navire, certificat de nationalité du navire, certificat de classification
Livre, certificat de navigabilité de la coque et de la turbine, certificat d’équipement de sécurité du navire, certificat de jauge, certificat d’immatriculation hypothécaire du navire, certificat de navigabilité de l’équipage, certificat d’équipage minimal, etc. certificat principal du navire en collision
6. Actes ou éléments factuels des parties contraires aux conventions contractuelles ou aux dispositions légales
7, les documents prouvant les circonstances qui ont causé la perte ou le dommage.
XX) litiges relatifs aux contrats d’affrètement de navires
1, contrat d’affrètement
2, heure de livraison réelle, documents de preuve de lieu
3, stockage de carburant au moment de la livraison réelle
4, temps réel de retour du navire, documents de preuve de lieu
5. Remise par le bailleur de documents attestant que le navire est adapté à l’usage convenu ou confirmés par l’affréteur
6, preuve du paiement du loyer par le locataire au bailleur ou pièce justificative confirmée par les deux parties
7, un document justificatif du même bon état que le navire au moment de la remise du navire par l’affréteur ou un document de l’état confirmé par les deux parties
8, si le locataire réclame la résiliation du contrat, le certificat de vente a pour objet la résiliation du contrat.
XXI) litiges relatifs aux contrats de location – Financement de navires
1. Preuve de l’identité ou des qualifications de la partie
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3, contrat de crédit – bail ou de location – achat
4, payer le certificat de loyer
5. Comportement ou fait d’une partie contraire à une convention contractuelle ou à une disposition légale
6. Méthode de calcul des pertes et inventaire
XXII) litiges relatifs aux contrats de transport de navires par mer ou en eaux navigables
1. Preuve de l’identité ou des qualifications de la partie
2. Immatriculation des navires et permis de transport
3. Contrats contractuels
4, liste des transferts de navires
5. Preuve de paiement du contrat
6. Le fait que les parties ont violé une convention contractuelle ou une disposition légale
XXIII) litiges relatifs aux contrats conclus avec des navires de pêche
1. Preuve de l’identité ou des qualifications de la partie
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3. Permis de pêche
3. Contrats contractuels
4. Preuve de paiement du contrat à temps
5. Violation par les parties d’une convention contractuelle ou d’une disposition légale, faits
XXIV) litiges relatifs aux contrats de location – acquisition de navires
1. Identification des Parties
2. Informations sur l’immatriculation des navires
3. Liste des navires
4, preuve du contrat de location ou de la relation de location
5, payer le certificat de loyer
6. Actes ou faits des parties contraires à une convention contractuelle ou à une disposition légale
XXV) litiges relatifs aux contrats de garde de navires
1, matériel d’identification des Parties
2. Garde des documents justificatifs du contrat ou de la relation contractuelle
3, garde de la liste de transfert des articles
4, preuve du prix ou de la valeur de l’objet de garde
5, certificat de paiement des frais de garde
XXVI) litiges relatifs aux contrats de location de conteneurs maritimes
1. Personne de la partie, matériel de preuve de qualification
2. Preuve du contrat de location ou de la relation contractuelle
3, liste de livraison de conteneur
4. Violation des engagements contractuels par les parties, faits
XXVII) litiges relatifs aux contrats de garde de conteneurs maritimes
1. Personne de la partie, matériel de preuve de qualification
2. Preuve du contrat de garde ou de la relation contractuelle
3, garde de la liste de transfert des articles
4, paiement des certificats de frais de garde
5. Violation des engagements contractuels par les parties, faits
XXVIII) litiges relatifs aux contrats de garde de marchandises portuaires
1. Preuve de l’identité ou des qualifications de la partie
2. Contrat de garde des marchandises
4, garde de la liste de transfert des articles
5, paiement des certificats de frais de garde
6, ordre de ramassage
7. Violation des engagements contractuels par les parties, faits
XXIX) litiges relatifs aux contrats d’Agence maritime
1. Identité de la partie, matériel de preuve de qualification
2. Contrat d’agence
3, preuve de l’achèvement des questions d’agence
4, certificat de paiement des frais d’agence
5. Violation par les parties d’une convention contractuelle ou d’une disposition légale
6. Dommages et montant
(XXX) litiges relatifs aux contrats de transitaires en mer, en eaux navigables
1, les documents justificatifs de l’établissement, de la modification ou de la résiliation du contrat de transitaire.
2. L’Agence d’expédition fournit des licences d’entreprise, des licences de service de transport de surface
3, déclaration en douane, connaissement, manifeste.
4, bon de transport de relais de fret
Méthode et base de calcul des pertes du donneur d’ordre.
À la fin de 2019, il y avait 11 tribunaux maritimes en Chine, qui et leur juridiction étaient:
I. Tribunal maritime de la mer du Nord: affaires maritimes et commerciales dans les ports et les eaux appartenant à la région autonome Zhuang du Guangxi, dans la zone maritime du Golfe du Nord et ses îles et eaux intérieures, ainsi que dans les eaux navigables qui communiquent avec la mer, du Lancang au Mékong, dans la province du yunnan. Sa zone de juridiction avec le tribunal maritime de Guangzhou est délimitée par la ligne centrale du chenal de la baie d’INRO, à l’est de la ligne centrale du chenal et de sa zone maritime étendue par le tribunal maritime de Guangzhou, à l’ouest de la ligne centrale du chenal et de sa zone maritime étendue, y compris Les eaux de l’île d’Ubud, de l’île de Luzhou, de l’île de Changyang, etc., par le tribunal maritime de la mer du Nord. Les collisions de navires, avaries communes, sauvetage en cas de naufrage, pollution par les navires, saisies de navires et affaires de vente aux enchères survenant dans les eaux de la province du Yunnan, ainsi que les affaires maritimes étrangères, les affaires de commerce maritime, relèvent de la compétence du tribunal maritime de la mer du Nord et Les autres affaires maritimes, les affaires de commerce maritime survenant dans les eaux de la province du Yunnan, relèvent de la compétence du Tribunal populaire local (mais les dispositions de la loi sur le commerce maritime, de la loi sur les procédures spéciales en matière de litiges maritimes, etc., s’appliquent). Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la région autonome Zhuang du Guangxi.
II. Tribunal maritime de Dalian: du Sud de la jonction de la province du Liaoning avec la province du Hebei, de l’est de la mer étendue de l’embouchure du fleuve Duck Green et des eaux du fleuve Duck Green, qui comprennent une partie de la mer Jaune, une partie de la mer de Bohai, des îles en mer, et du fleuve Heilongjiang, du fleuve Songhua, du fleuve Usuri dans la province du Heilongjiang égal aux eaux navigables de la mer en phase maritime, des affaires maritimes et commerciales maritimes dans les ports. Les collisions de navires, avaries communes, sauvetage en cas de naufrage, pollution par les navires, saisies de navires et ventes aux enchères dans les eaux de la province du Heilongjiang, ainsi que les affaires maritimes et commerciales étrangères, relèvent de la compétence du tribunal maritime de Dalian et d’autres affaires maritimes et commerciales dans les eaux de La province du Heilongjiang, relèvent de la compétence du Tribunal populaire local (mais les dispositions de la loi sur le commerce maritime, de la loi de procédure spéciale relative aux litiges maritimes, etc., s’appliquent). Les affaires en appel sont soumises à la Haute Cour populaire de la province du Liaoning.
Iii. Tribunal maritime de Guangzhou: les zones maritimes côtières de la province du Guangdong, les eaux fluviales intérieures qui communiquent avec la mer, les ports et leurs zones côtières et certaines zones maritimes de la mer de Chine méridionale. Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Guangdong.
Iv. Tribunal maritime de Haikou: le port et les eaux appartenant à la province de Hainan, ainsi que les îles de Xisha, Zhongsha, Nansha, Huangyan et leurs eaux (le Tribunal a établi un tribunal d’affectation à Sanya, Yangpu). Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province de Hainan.
V. tribunal maritime de Ningbo: les ports et les eaux de toute la province du Zhejiang (y compris les îles sous juridiction, les ports et les eaux fluviales intérieures de Tonghai) ce tribunal a établi des tribunaux d’affectation dans les trois villes de Wenzhou, Zhoushan et Taizhou. Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Zhejiang.
Cour maritime de Qingdao: du Sud de la frontière de la province du Shandong avec la province du Jiangsu, au nord jusqu’à la frontière de la province du Shandong avec la province du Hebei, qui comprend la partie de la mer Jaune, la partie de la mer de Bohai, les îles maritimes et Lanshan, shizu, Qingdao, Weihai, Yantai, Pung lai, Longkou, Shekou et tous les ports côtiers de la province du Shandong. Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Shandong.
Tribunal maritime de Shanghai: étendue de la zone maritime côtière de Shanghai. Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de Shanghai. Selon la dernière notification en date du 20 juin 2006, les différends maritimes commerciaux dans le port de Yangshan et les zones maritimes adjacentes sont régis par la loi maritime de Shanghai.
Viii. Tribunal maritime de Tianjin: juridiction sur les ports côtiers et leurs zones maritimes, les îles maritimes, les affaires de commerce maritime du Sud de la frontière entre la province du Hebei et la province du Shandong et du nord jusqu’à la frontière entre la province du Hebei et la province du Liaoning, ainsi que les affaires d’avarie commune à Beijing, les affaires d’assurance maritime, les affaires de reconnaissance et d’exécution des sentences arbitrales maritimes (la Cour a établi un tribunal d’affectation à Qinhuangdao). Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de Tianjin.
Tribunal maritime de Wuhan: les eaux navigables, les ports maritimes, les affaires de commerce maritime depuis la porte de Hejiang, ville de Yibin, Province du Sichuan, jusqu’à l’embouchure de la rivière Jiao, Province du Jiangsu. Les collisions de navires, avaries communes, sauvetage en cas de naufrage, pollution par les navires, saisies de navires et affaires de vente aux enchères survenant dans les eaux d’un affluent du Yangtsé, ainsi que les affaires maritimes étrangères, les affaires de commerce maritime, relèvent de la compétence du tribunal maritime de Wuhan et les autres affaires maritimes, les affaires de commerce maritime survenant dans les eaux d’un affluent du Yangtsé, relèvent de la compétence des tribunaux populaires locaux (mais les dispositions des lois pertinentes telles que la loi sur le commerce maritime, la loi sur les procédures spéciales en matière de litiges maritimes, etc., s’appliquent Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Hubei.
X. tribunal maritime de Xiamen: zone maritime étendue du Sud de la frontière entre la province du Fujian et la province du Guangdong, au nord de la frontière entre la province du Fujian et la province du Zhejiang, qui comprend la partie sud de la mer de Chine orientale, la province de Taïwan, les îles maritimes et les ports appartenant à la province du Fujian (le Tribunal a établi un tribunal d’affectation à Fuzhou). Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Fujian.
Xi. Tribunal maritime de Nanjing: le tribunal maritime de Nanjing est compétent dans les affaires concernant les zones maritimes étendues de la frontière entre la province du Jiangsu et la province du Shandong jusqu’à la frontière entre la province du Jiangsu et la ville de Shanghai, les eaux de la ligne principale du Yangtsé et de ses affluents entre la frontière entre la province du Jiangsu et la province de l’Anhui et l’embouchure de la rivière Jiaohe dans la province du Jiangsu, ainsi que les ports et les eaux navigables navigables dans la région administrative de la province du Jiangsu Les affaires en appel sont de la compétence de la Haute Cour populaire de la province du Jiangsu.
La Cour maritime de Chine, l’un des tribunaux populaires spécialisés de Chine, est un tribunal spécialisé dans les affaires maritimes et de commerce maritime. La Chine a établi des tribunaux maritimes dans les villes de Shanghai, Tianjin, Guangzhou, Qingdao, Dalian et Wuhan, conformément aux dispositions de la décision du Comité permanent de l’Assemblée populaire nationale de novembre 1984 sur la création de tribunaux maritimes dans les villes portuaires côtières et de la décision de la Cour populaire suprême sur plusieurs questions relatives à la création de tribunaux maritimes. Composé d’un président, d’un vice – Président, d’un président, d’un vice – Président et d’un certain nombre de juges, il est doté d’une Commission de jugement. Il existe une chambre de première instance maritime et une chambre de première instance maritime et commerciale. Son champ d’application est les cas suivants entre les personnes morales et les citoyens chinois, entre les personnes morales et les citoyens chinois et les personnes morales et les citoyens étrangers ou régionaux, entre les personnes morales et les citoyens étrangers ou régionaux: (1) les litiges relatifs aux infractions maritimes; 2) les litiges relatifs aux contrats de commerce maritime; 3° Les autres cas de commerce maritime; 4) les cas d’exécution maritime; (5) cas de demande de préservation maritime. La juridiction du tribunal maritime est déterminée par la Cour populaire suprême en fonction des caractéristiques de la répartition maritime et portuaire de la Chine et n’est pas limitée par les divisions administratives terrestres. Les procès devant les tribunaux maritimes et les tribunaux populaires intermédiaires sont supervisés par le tribunal populaire supérieur du lieu où ils se trouvent et sont soumis à la juridiction de ce tribunal populaire supérieur pour les affaires en appel.
Caractéristiques de juridiction
1. La juridiction du contentieux maritime est spécialisée.
2. La compétence en matière de litiges maritimes est exogène.
3. La compétence en matière de litiges maritimes ne repose pas sur la Division des régions administratives.
Niveau de juridiction
Le niveau de juridiction des litiges maritimes fait référence à la Division du travail et à la compétence entre les tribunaux maritimes et les juridictions supérieures pour connaître des affaires maritimes en première instance. Il traite de la division verticale du travail au sein de la Cour pour la réception des affaires maritimes de première instance.
Contrairement au « système de jugement final à quatre niveaux» dans les affaires civiles générales, le niveau de jugement dans les affaires maritimes est le « système de jugement final à trois niveaux», c’est – à – dire les tribunaux maritimes, la Haute Cour populaire du siège du tribunal maritime et la Cour populaire suprême. En fonction de la nature, de l’objet et du degré d’impact social des affaires maritimes, la Haute Cour populaire et la Cour populaire suprême du siège du tribunal maritime peuvent connaître des affaires maritimes en première instance. Afin de faciliter les litiges entre les parties et de régler les différends maritimes, les tribunaux maritimes ont créé des bureaux – des tribunaux – dans les grands ports côtiers. Le tribunal maritime est saisi en première instance d’affaires maritimes par la Chambre maritime interne, la Chambre de commerce maritime et la Chambre de commerce maritime.
Territoire de juridiction
La juridiction territoriale spéciale pour les litiges maritimes est celle qui est déterminée en fonction du lieu où l’objet de la procédure ou les faits maritimes ont eu lieu, compte tenu du lieu de résidence du défendeur. À l’exception des cas individuels d’avarie commune, de rémunération au sauvetage, etc., la plupart des cas relevant de la compétence territoriale spéciale en matière de litiges maritimes peuvent relever du tribunal maritime du domicile du défendeur.
Les aspects exogènes des affaires maritimes, leur large champ d’action, leur grande compétence technique et le flux d’objets litigieux ont déterminé que seule l’application d’une juridiction territoriale spéciale à la plupart des affaires maritimes permettrait de résoudre les différends maritimes de manière plus scientifique et plus efficace et de protéger les intérêts légitimes des Parties. C’est pourquoi le paragraphe 2 de l’article 6 de la loi sur les procédures spéciales en matière maritime contient des dispositions plus détaillées que celles du Code de procédure civile en ce qui concerne la compétence territoriale spéciale dans les affaires maritimes.
Juridiction exclusive
La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est la disposition légale selon laquelle une affaire maritime particulière ne peut être soumise qu’à un tribunal maritime particulier. La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est très exclusive, excluant à la fois la compétence des tribunaux étrangers et celle des tribunaux non maritimes pour les affaires, ainsi que celle des autres tribunaux maritimes nationaux.
La compétence exclusive en matière de litiges maritimes diffère de la compétence exclusive en matière de litiges maritimes. La compétence spéciale en matière de contentieux maritime est la qualification de la compétence en matière de contentieux maritime, c’est – à – dire que les affaires maritimes relèvent exclusivement de la compétence des tribunaux maritimes; La compétence exclusive en matière de litiges maritimes est un élément important de la compétence spécialisée, c’est – à – dire que les affaires de nature particulière en matière maritime ne peuvent être jugées que par des tribunaux maritimes spécifiques.
Juridiction de l’Accord
La juridiction d’un accord de litige maritime est celle par laquelle les parties conviennent elles – mêmes, dans les limites prévues par la loi, que leur litige sera jugé par un tribunal donné, dans le but d’exclure la compétence d’autres tribunaux et de faciliter la procédure. La juridiction des accords de litige maritime peut être divisée en la juridiction des accords généraux, la juridiction des accords spéciaux et la juridiction des accords implicites. La juridiction conventionnelle générale et la juridiction conventionnelle implicite sont l’un des principes de compétence généralement reconnus au niveau international. La loi de procédure spéciale sur les litiges maritimes ne contient pas de dispositions complètes sur la juridiction des accords, mais seulement sur la juridiction des accords spéciaux qui s’y trouvent.
Portée de l’affaire
Selon les dispositions de la Cour populaire suprême de 2016 sur la portée des affaires portées devant les tribunaux maritimes, la portée des affaires portées devant les tribunaux maritimes comprend cinq grandes catégories:
Cas de litiges relatifs à des infractions maritimes
1. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de collision avec des navires, y compris les litiges relatifs à la responsabilité en cas de collision indirecte telle que des dommages causés par des vagues;
2. Les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par un navire touchant la mer, les eaux navigables, les ports et leurs installations à terre ou d’autres biens, y compris les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par un navire touchant des installations telles que des quais, des brise – lames, des chevalets, des écluses, des ponts, des balises, des plates – formes de forage, etc.;
3. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de dommages causés à des installations ou à d’autres biens qui ont été érigés en l’air ou installés sur le fond de la mer ou dans des eaux navigables;
Les litiges relatifs à la responsabilité pour les dommages causés par le déversement, la fuite, l’immersion d’hydrocarbures, d’eaux usées ou d’autres substances nocives par un navire, la pollution des eaux ou la perte d’autres navires, de marchandises ou d’autres biens;
Les litiges en matière de responsabilité pour dommages causés à la pêche, aux installations d’élevage et aux produits aquacoles par la navigation ou l’exploitation d’un navire;
Les épaves et épaves de navires, les débris, les installations et installations temporaires ou permanentes en mer ou dans les eaux navigables de la mer qui affectent la navigation des navires et causent des dommages aux navires, à la cargaison et à d’autres biens et des dommages corporels;
7. Les litiges relatifs à la responsabilité en cas de violation des droits et intérêts personnels d’autrui par des activités telles que la navigation, l’exploitation ou l’exploitation d’un navire;
8. Litiges relatifs à la responsabilité en cas de rétention ou de rétention illégale d’un navire, de sa cargaison et de son matériel, de son carburant et de ses provisions;
9. Les litiges relatifs à la responsabilité du fait de la qualité des produits découlant de défauts dans les parties critiques et les articles spéciaux du navire fournis pour les travaux maritimes;
10. Autres litiges relatifs à des infractions maritimes.
Cas de litige contractuel maritime
11. Les litiges relatifs aux contrats de vente et d’achat de navires;
12. Les litiges relatifs aux contrats de construction navale;
13. Les litiges contractuels relatifs à la Sous – traitance de la construction, à la commande, à la commande, à l’achat et à la vente de composants essentiels et d’articles spécialisés pour les navires;
14. Les litiges relatifs aux contrats d’exploitation de travaux maritimes (y compris les formes d’accrochage, de partenariat, de contrat, etc.);
15. Les litiges relatifs aux contrats d’inspection de navires;
16. Les litiges relatifs aux contrats de location de chantiers navals;
17. Contrats de gestion d’exploitation de navires (y compris les formes d’accostage, de partenariat, de contrat, etc.), litiges relatifs à des contrats de coopération d’exploitation de routes;
18. Litiges relatifs à des contrats de fourniture de matériel, de carburant et de provisions liés à l’exploitation d’un navire donné;
19. Les litiges relatifs aux contrats d’Agence maritime;
20. Les litiges relatifs aux contrats de pilotage de navires;
21. Les litiges relatifs aux contrats d’hypothèque sur les navires;
22. Litiges relatifs aux contrats d’affrètement de navires (y compris les contrats d’affrètement à durée déterminée, les contrats d’affrètement coque nue, etc.);
23. Litiges relatifs à des contrats de location – Financement de navires;
24. Les litiges relatifs au contrat de travail de l’équipage, au paiement de la rémunération liée à l’embarquement de l’équipage, au service à bord du navire, au rapatriement hors du navire et à l’indemnisation en cas de blessures ou d’accidents corporels dans le cadre du contrat de travail de l’équipage, y compris l’Accord de détachement de l’équipage;
25. Litiges relatifs à des contrats de transport de marchandises par mer ou dans des eaux navigables maritimes, y compris les litiges relatifs à des contrats de transport international multimodal, de surface, etc., comportant des sections maritimes;
26. Les litiges relatifs aux contrats de transport de passagers et de bagages par mer, dans les eaux navigables maritimes;
27. Litiges relatifs aux contrats de transitaires en mer ou dans des eaux navigables;
28. Litiges relatifs à des contrats de location de conteneurs pour le transport par mer ou dans des eaux navigables;
29. Litiges relatifs à des contrats de transport de marchandises par mer ou dans des eaux navigables;
30. Litiges relatifs à des contrats de remorquage en mer ou dans des eaux navigables;
31. Litiges relatifs au contrat de transport par traversier;
32. Litiges relatifs aux contrats de stockage, de garde et d’entreposage de marchandises dans les ports;
33. Les litiges relatifs aux contrats de garantie tels que les hypothèques sur les marchandises portuaires, les nantissements, etc.;
34. Les litiges contractuels relatifs à la réglementation du nantissement de marchandises portuaires;
35. Entreposage de conteneurs maritimes, entreposage, garde des litiges contractuels;
36. Cas de litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques sur des conteneurs maritimes, des nantissements, etc.;
37. Litiges concernant des contrats de crédit – bail pour le financement de conteneurs maritimes;
38. Litiges relatifs à des contrats de location de ports ou de terminaux;
39. Litiges relatifs aux contrats de gestion des ports ou terminaux;
40. Assurance maritime, litiges relatifs à des contrats d’indemnisation;
41. Contrats d’assurance, litiges relatifs à des contrats d’assurance ou de dommages – intérêts faisant l’objet d’une assurance pour le transport de navires en eaux navigables maritimes et le produit de leur exploitation, de marchandises et de bénéfices escomptés, de salaires et autres rémunérations des membres d’équipage, de responsabilité civile, etc.;
42. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance responsabilité civile à l’égard d’installations d’équipement pour les travaux de construction navale et des avantages escomptés;
43. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance responsabilité civile à l’égard d’installations de production d’équipements portuaires et des avantages escomptés;
44. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance portant sur des installations d’équipement utilisées pour des activités telles que la pêche maritime, l’exploitation des ressources marines, la construction d’ouvrages maritimes et les avantages escomptés, la responsabilité à l’égard de tiers;
45. Les litiges relatifs à des contrats d’assurance faisant l’objet d’une assurance portant sur les équipements utilisés pour la construction des ouvrages dans les eaux navigables de la mer et sur les avantages escomptés, la responsabilité civile envers des tiers;
46. Litiges relatifs à des contrats de location – financement d’installations d’équipement aéronautiques portuaires;
47. Litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques, des nantissements, etc., relatifs à des installations d’équipements aéronautiques portuaires;
48. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour lesquels une sûreté a été constituée sur des navires, des conteneurs maritimes ou des installations portuaires d’équipement maritime, à l’exception des litiges dans lesquels les parties ne sont poursuivies que pour des contrats d’emprunt;
49. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour l’achat, la construction ou l’exploitation d’un navire donné;
50. Les litiges concernant les garanties, les garanties indépendantes, les lettres de crédit, etc., pour garantir la réalisation de créances liées au transport maritime, à l’achat et à la vente de navires, aux travaux maritimes, aux opérations de production portuaire;
51. Les litiges relatifs à des contrats de travail ou à des actes visés aux points 11 à 50 ci – dessus;
52. Autres litiges relatifs aux contrats maritimes.
Développement des litiges d’utilisation et de protection de l’environnement
53. Litiges relatifs à l’exploration, à l’exploitation et au transport des ressources énergétiques et minérales en mer et dans les eaux navigables;
54. Litiges relatifs au dessalement et à l’utilisation intégrée de l’eau de mer;
55. Litiges relatifs à la construction d’ouvrages en mer ou en eaux navigables (dragage sous – Marin, construction de périmètres, pose de câbles ou de pipelines, construction de quais, de chantiers navals, de plates – formes de forage, d’îles artificielles, de tunnels, de ponts, etc.);
56. Litiges relatifs à l’exploitation des zones côtières;
57. Litiges relatifs aux expéditions scientifiques marines;
58. Litiges relatifs à des contrats d’exploitation de la pêche (y compris la pêche, l’élevage, etc.) en mer ou dans des eaux navigables;
59. Litiges relatifs à des contrats de location – bail pour le financement d’installations d’exploitation du matériel marin;
60. Litiges relatifs à des contrats de garantie tels que des hypothèques, des nantissements, etc., relatifs à des installations d’exploitation des ressources marines;
61. Les litiges relatifs à des contrats d’emprunt pour lesquels des garanties ont été constituées en vue de l’utilisation d’installations d’équipement aux fins de l’exploitation maritime, à l’exception des litiges dans lesquels les parties ne sont poursuivies que pour des contrats d’emprunt;
62. Litiges concernant des garanties, des garanties indépendantes, des lettres de crédit, etc., pour garantir la réalisation de créances liées à des opérations de production en mer telles que la construction d’ouvrages en mer et dans les eaux navigables maritimes, l’exploitation de la mer, etc.;
63. Les litiges relatifs à l’utilisation de la mer (y compris les litiges contractuels relatifs à la passation de marchés, à la cession, à l’hypothèque, etc., et les litiges délictuels connexes), à l’exception des litiges en matière de justice découlant d’une demande d’utilisation de la mer;
64. Les litiges concernant des contrats de louage de services ou des actes visés aux points 53 à 63 ci – dessus;
65. Litiges concernant la pollution du milieu marin et la destruction de l’éco – responsabilité marine;
66. Litiges concernant la responsabilité écologique en cas de pollution de l’environnement des eaux navigables de la mer et de destruction des eaux navigables de la mer;
67. Autres litiges relatifs à la responsabilité délictuelle découlant de l’exploitation des mers ou des eaux navigables, de travaux de construction et de différends relatifs aux relations adjacentes.
Autres litiges maritimes
68. Les litiges relatifs aux droits réels sur les navires, tels que la propriété des navires, la priorité des navires, les privilèges sur les navires, les hypothèques sur les navires, etc.;
69. Litiges relatifs à la propriété, au privilège, à l’hypothèque, etc., de marchandises portuaires, de conteneurs maritimes et d’installations portuaires de matériel de navigation;
70. Litiges relatifs à la propriété, au privilège, à l’hypothèque, etc., de biens tels que des installations maritimes, des installations d’exploitation des eaux navigables, etc.;
71. Litiges découlant de la cession de connaissements, de nantissements;
72. Les litiges relatifs à l’aide en cas de naufrage;
73. Litiges relatifs à l’enlèvement de navires en mer ou dans des eaux navigables;
74. Les litiges d’avarie commune;
75. Litiges relatifs aux opérations portuaires;
76. Les biens situés en mer et dans les eaux navigables maritimes ne font l’objet d’aucun différend administratif;
77. Litiges relatifs à la fraude maritime;
78. Litiges relatifs au courtage maritime et aux opérations sur produits dérivés du transport maritime.
Affaires administratives maritimes
79. Procédures administratives engagées contre des organes administratifs maritimes pour des actes administratifs concernant des biens tels que des navires, des marchandises, des équipements, des conteneurs maritimes, etc., en mer, dans des eaux navigables ou dans des ports;
80. Procédures administratives engagées contre les autorités maritimes pour des actes administratifs relatifs aux qualifications et à la légalité dans les opérations de transport maritime, dans les eaux navigables maritimes et les opérations auxiliaires connexes, aux transitaires, à la capacité des équipages et aux services d’embarquement;
81. Procédures administratives engagées contre les autorités maritimes pour des actes administratifs concernant des activités telles que la mer, l’exploitation des eaux navigables de la mer, la pêche, la protection de l’environnement et des ressources écologiques;
82. Procédures administratives engagées pour refus de l’administration maritime concernée d’exercer les fonctions administratives visées aux points 79 à 81 ci – dessus ou pour non – réponse;
83. Affaires dans lesquelles la responsabilité de l’État est demandée à l’administration maritime et à son personnel au motif qu’ils ont commis les actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus ou que l’exercice de leurs fonctions administratives a porté atteinte à des intérêts légitimes;
84. Les cas dans lesquels la responsabilité de l’État est demandée à l’administration maritime concernée et à son personnel au motif que les actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus ont été accomplis ou que l’exercice des fonctions administratives pertinentes a porté atteinte à des intérêts légitimes;
85. Affaires dans lesquelles l’administration maritime a demandé l’exécution des actes administratifs visés aux points 79 à 81 ci – dessus.
Affaires relatives aux procédures spéciales maritimes
86. Demandes de constatation de la validité d’une convention d’arbitrage maritime;
87. Cas de demande de reconnaissance ou d’exécution d’une sentence arbitrale maritime étrangère, de demande de reconnaissance ou d’exécution d’une sentence arbitrale maritime de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de la région de Taiwan, de demande d’exécution ou d’annulation d’une sentence arbitrale maritime nationale;
88. Demandes de reconnaissance et d’exécution d’instruments de décision maritime de tribunaux étrangers, demandes de reconnaissance et d’exécution d’instruments de décision maritime de tribunaux de district de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de Taiwan;
89. Demande de constatation de l’absence de propriétaire d’un bien en mer, dans des eaux navigables maritimes;
90. Les cas où la demande n’est pas motivée par la gestion de biens en mer, dans des eaux navigables;
91. Cas de disparition ou de décès suite à une demande d’intervention en mer, dans des eaux navigables ou à un accident;
92. Demandes de saisie de navires, de marchandises à bord de navires, de matériaux marins, de fioul de soute ou de préservation d’autres biens dans le cadre d’un différend maritime avant la mise en accusation;
93. Litiges en matière de responsabilité découlant d’une demande d’erreur de conservation de biens présentée par un demandeur maritime ou d’une demande de garantie d’un montant excessif;
94. Les cas de demande d’injonction maritime;
95. Demande de conservation de preuves maritimes;
96. Litiges en matière de responsabilité découlant d’une demande erronée d’injonction maritime ou de préservation de preuves maritimes;
97. Les demandes d’ordonnances de paiement relatives à des différends maritimes;
98. Demandes de publicité de rappels concernant des différends maritimes;
99. Demande de création d’un Fonds de limitation de la responsabilité maritime (Fonds de limitation de la responsabilité pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures);
100. Enregistrement et indemnisation des créances liées à la vente aux enchères de navires ou à la création d’un Fonds de limitation de la responsabilité maritime (Fonds de limitation de la responsabilité pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures);
Afin de résoudre davantage les problèmes rencontrés par les parties de différentes juridictions lorsqu’elles déposent des documents d’accusation ou déposent des requêtes auprès du Tribunal de commerce international de Beijing, le tribunal de commerce international de Beijing, en combinaison avec la compétence judiciaire et la pratique du procès, a introduit cette question – réponse conformément au Code de procédure civile de la République populaire de Chine et à l’interprétation judiciaire pertinente de la Cour populaire suprême.
Question 1: quels sont les éléments de preuve de la qualité de l’étranger ou du résident de Hong Kong et Macao qui doivent être présentés pour la procédure?
:: les étrangers participent à la procédure et présentent des documents d’identité et d’entrée tels que des passeports pour prouver leur identité; Si je ne peux pas me rendre au tribunal populaire à l’étranger, je dois présenter des pièces d’identité certifiées conformes.
Résidents de Hong Kong, d’Australie et de Taiwan, présenter une preuve d’identité personnelle (carte d’identité de résident de Hong Kong, d’Australie et de Taiwan, carte de retour au pays); Les résidents de Hong Kong et de Macao qui n’ont pas de domicile sur le continent et qui ne peuvent pas se rendre au tribunal populaire en dehors du continent doivent présenter des pièces d’identité certifiées conformes par un avocat de Hong Kong et de Macao (mandaté par le Ministère de la justice de notre pays) et transmises par China Legal Services (Hong Kong ou Macao) Co., Ltd. Sous couvert d’un acte notarié; Les résidents de Taïwan qui n’ont pas de résidence sur le continent présentent des documents d’identification notariés par une autorité notariale de Taïwan et certifiés par la Chambre des notaires de Chine ou de Pékin.
Question 2: quelles pièces justificatives doivent être soumises par les entreprises et organisations étrangères et hongkongaises dans le cadre de procédures?
Réponse: les entreprises ou les organisations étrangères qui n’ont pas de domicile dans notre domaine, en présentant des documents d’identification notariés, certifiés conformes à la loi; La personne qui représente une entreprise ou une organisation étrangère à la procédure présente une preuve notariée et certifiée conforme de son droit de participer à la procédure en tant que représentant.
Les entreprises ou les organisations de Hong Kong ou de Macao qui n’ont pas de domicile dans la partie continentale, en présentant une attestation d’établissement légal certifiée conforme par un notaire de Hong Kong ou de Macao par un avocat de Hong Kong ou de Macao (mandaté par notre Ministère de la justice) et par un acte notarié de China Legal Services (Hong Kong ou Macao) Co., Ltd. Les entreprises ou organisations taïwanaises qui n’ont pas de domicile sur le continent présentent une attestation d’établissement légal notariée par un organisme notarial taïwanais et certifiée par la Chambre des notaires de Chine ou de Beijing.
Question III: Quelles sont les exigences relatives aux procurations autorisées?
Réponse: (1) les parties étrangères qui n’ont pas de domicile dans notre domaine, les parties hongkongaises et australiennes qui ont confié à notre avocat ou à d’autres personnes la représentation de la procédure, les procurations envoyées ou déposées de l’extérieur de notre domaine ou de l’intérieur du pays, doivent effectuer les formalités notariales correspondantes.
Les représentants de personnes physiques, d’entreprises ou d’organisations étrangères et de la région de Hong Kong et Macao qui signent une procuration sur notre territoire doivent présenter une attestation notariée par notre autorité notariale; Lorsqu’une Commission est effectuée en personne devant le Tribunal, elle peut être constatée par un juge conformément à la loi de l’acte par lequel il a signé la commission rogatoire.
Les parties taïwanaises titulaires d’un permis de résidence de résident à Taïwan ont confié la procédure à un avocat ou à une autre personne de la partie continentale, autorisant la procuration à agir conformément à l’article 17 de la loi sur les mesures de la Cour populaire suprême relatives à la fourniture de services judiciaires pour l’approfondissement du développement de L’intégration des deux rives du détroit, sans qu’il soit nécessaire d’obtenir une attestation notariée ou d’accomplir d’autres formalités de certification.
2) une partie étrangère à une procédure civile étrangère peut confier à son propre représentant ou à un avocat de son propre pays agissant en qualité de non – avocat; Les fonctionnaires des ambassades et consulats étrangers en Chine, mandatés par leurs propres citoyens, peuvent agir en tant qu’agents ad litem à titre personnel, mais ne jouissent pas des privilèges et immunités diplomatiques ou consulaires dans les procédures.
(3) le mandataire qui signe un acte d’accusation à la place de celui – ci est soumis à l’autorisation expresse de la procuration de signer l’acte d’accusation à la place de celui – ci et ne peut pas se contenter d’écrire « à la place de l’acte d’accusation».
Question IV: y a – t – il une exigence de traduction pour les documents écrits soumis par les parties?
R: les documents écrits soumis par les parties au Tribunal de commerce international de Beijing sont en langue étrangère et doivent être traduits en chinois au Tribunal de commerce international de Beijing en même temps. Si les parties contestent la traduction chinoise, elles confient conjointement à l’Agence de traduction la fourniture du texte traduit; Si les parties ne peuvent s’entendre sur le choix de l’Agence de traduction, il appartient au Tribunal de le déterminer.
Question 5: quelles parties peuvent intenter une action transfrontalière en ligne?
R: les parties à des litiges transfrontaliers tels que les étrangers, les résidents de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de la région de Taiwan, les citoyens de Chine continentale ayant leur résidence habituelle à l’étranger ou dans la région de Hong Kong et de Macao, ainsi que les entreprises et les organisations enregistrées à l’étranger ou dans la région de Hong Kong et de Macao peuvent déposer une plainte en ligne par l’intermédiaire de la microcour mobile de Chine.
Question 6: les plaideurs transfrontaliers mandatent nos avocats de l’intérieur du pays pour représenter le litige, comment demander un témoignage vidéo en ligne?
R: les parties à des litiges transfrontaliers et les mandataires peuvent demander un témoignage vidéo en ligne au tribunal compétent via l’applet Wechat de China Mobile microcourt ou sur ordinateur.
Les témoignages vidéo en ligne sont initiés par Judge Online, où les juges, les plaideurs transfrontaliers et les avocats mandatés sont simultanément mis en ligne par vidéo. Les parties à la procédure transfrontière devraient utiliser notre langue commune ou être accompagnées d’un traducteur, et le juge devrait vérifier si l’avocat commis d’office et son cabinet d’avocats, ainsi que l’acte commis d’office, sont la véritable expression du sens de la partie à la procédure transfrontière. Sous le témoignage vidéo du juge, les parties à la procédure transfrontalière, les avocats mandatés signent les documents relatifs à la représentation déléguée, sans autre formalité de notaire, d’authentification, de transmission, etc. Après le témoignage vidéo en ligne, l’avocat mandaté peut agir à sa place pour mener à bien des dossiers en ligne, payer des frais en ligne et d’autres questions.
Question VII: quels sont les éléments à présenter pour demander la reconnaissance et l’exécution d’une décision rendue par un tribunal étranger en matière civile ou commerciale?
Réponse: le requérant qui demande au tribunal populaire la reconnaissance et l’exécution d’un jugement ou d’une décision d’un tribunal étranger produisant des effets juridiques doit présenter:
(1) la demande en deux exemplaires. La demande doit indiquer les circonstances de base du demandeur, sa requête et ses motifs, ainsi que les circonstances dans lesquelles les parties ont été convoquées et poursuivies;
2° un jugement notarié, certifié conforme, l’original de la décision ou une copie certifiée conforme, ainsi qu’une traduction en chinois;
(3) Lorsqu’une décision de justice, une décision rendue par défaut ou une décision rendue par un tribunal, le demandeur doit présenter en même temps les pièces justificatives des circonstances dans lesquelles il a été légalement convoqué et poursuivi, sauf si la décision ou la décision l’a clairement indiqué.
Dans le même temps, il convient de noter que les traités internationaux auxquels notre pays est partie ou auxquels il est partie prévoient que la soumission de documents est traitée conformément aux règles.
Question VIII: quels sont les éléments à soumettre pour demander la reconnaissance et l’exécution d’une sentence arbitrale étrangère?
R: si le demandeur demande la reconnaissance et l’exécution d’une sentence arbitrale étrangère, il doit soumettre la requête et l’original ou une copie certifiée conforme de la sentence.
La demande doit indiquer: 1) Si le demandeur ou le défendeur est une personne physique, son nom, son sexe, sa date de naissance, sa nationalité et son domicile; S’il s’agit d’une personne morale ou d’une autre organisation, son nom, son domicile et le nom et la fonction de son représentant légal ou de son représentant; 2° Les principaux éléments de la sentence et la date d’entrée en vigueur; (3) demandes et motifs spécifiques.
Les requêtes, sentences et autres documents présentés par les parties en langue étrangère doivent être accompagnés d’une traduction en chinois.
Question IX: quels sont les éléments à soumettre pour demander la reconnaissance et l’exécution d’un jugement en matière civile et commerciale dans la région administrative spéciale de Hong Kong?
R: la demande de reconnaissance et d’exécution des jugements en matière civile et commerciale de la région administrative spéciale de Hong Kong présentée par le demandeur doit être conforme aux dispositions en vigueur de l’Arrangement de la Cour populaire suprême concernant la reconnaissance mutuelle et l’exécution des jugements en matière civile et commerciale entre les tribunaux de la partie continentale et de la région administrative spéciale de Hong Kong.
Le demandeur doit présenter les documents suivants: (1) une demande de reconnaissance et d’exécution; 2° une copie du jugement scellé par le Tribunal qui a rendu le jugement définitif; (3) un certificat délivré par le Tribunal qui a rendu le jugement définitif attestant que le jugement est un jugement définitif au sens de l’article II de l’Arrangement de la Cour populaire suprême concernant la reconnaissance mutuelle et l’exécution des jugements dans les affaires civiles et commerciales régies par un accord entre les tribunaux de la partie continentale et de la région administrative spéciale de Hong Kong, qui peut être exécuté au lieu où le jugement a été rendu, ce certificat devant être notarié séparément; (4) Pièces d’identité: 1. Si le demandeur est une personne physique, une photocopie de sa carte d’identité ou de sa carte d’identité notariée doit être présentée; 2. Si le demandeur est une personne morale ou une autre organisation, une photocopie notariée du certificat d’enregistrement de la personne morale ou de l’autre organisation; 3. Le demandeur est une personne morale ou une autre organisation étrangère et doit présenter les documents notariés et certifiés correspondants.
Dans le même temps, il convient de noter que les documents présentés par le demandeur ne sont pas disponibles en chinois et doivent être accompagnés d’une traduction en chinois certifiant l’absence d’erreur.
Question X: quels sont les documents à soumettre pour demander la reconnaissance et l’exécution d’un jugement en matière civile et commerciale dans la région administrative spéciale de Macao?
R: la demande de reconnaissance et d’exécution des jugements en matière civile et commerciale dans la région administrative spéciale de Macao doit être conforme aux dispositions de l’arrangement entre la partie continentale et la région administrative spéciale de Macao sur la reconnaissance mutuelle et l’exécution des jugements en matière civile et commerciale actuellement en vigueur. Le demandeur doit présenter une requête accompagnée d’une copie du jugement exécutoire ou d’un certificat tamponné par le Tribunal qui a rendu le jugement exécutoire, ainsi que d’un document pertinent délivré par le tribunal ou l’autorité compétente qui a rendu le jugement exécutoire à la naissance attestant:
1° la citation est faite conformément à la loi, sauf si le jugement l’atteste déjà;
2° l’incapable est représenté conformément à la loi, sauf si le jugement l’atteste déjà;
3° le jugement a été signifié aux parties et est entré en vigueur conformément à la loi du lieu où il a été rendu;
4) Si le demandeur est une personne morale, une copie du permis d’exploitation de la personne morale ou du certificat d’enregistrement de la personne morale;
5° un certificat d’exécution délivré par le Tribunal du lieu où le jugement a été rendu.
Question XI: quels documents faut – il présenter pour demander la reconnaissance et l’exécution d’un jugement civil dans la région de Taiwan?
R: la demande de reconnaissance et d’exécution d’une décision civile du Tribunal de district de Taiwan présentée par le requérant doit être conforme aux dispositions de la loi sur la reconnaissance et l’exécution des décisions civiles du Tribunal de district de Taiwan actuellement en vigueur. Le demandeur doit présenter une requête accompagnée de l’original ou d’une copie certifiée conforme de l’acte de jugement civil et du certificat de décision civile du tribunal compétent de la région de Taiwan. Si la décision civile du Tribunal de district de Taiwan est rendue par défaut, le demandeur doit présenter en même temps les documents prouvant que le tribunal de district de Taiwan a légalement convoqué les parties, sauf si la décision l’indique clairement.
La demande doit mentionner les éléments suivants: 1) le nom, le sexe, l’âge, la profession, le numéro de la pièce d’identité, l’adresse résidentielle du demandeur et du défendeur (si le demandeur ou le défendeur est une personne morale ou une autre organisation, le nom, l’adresse, le nom du Représentant légal ou du principal responsable, le titre du poste) et les moyens de communication; 2° la demande et les motifs; 3° l’exécution du jugement dont la reconnaissance est demandée; (4) autres circonstances à préciser.
Question XII: quels sont les documents à soumettre pour demander la reconnaissance et l’exécution d’une affaire civile de mariage et de famille dans la région administrative spéciale de Hong Kong?
R: l’Arrangement de la Cour populaire suprême concernant la reconnaissance mutuelle et l’exécution des décisions des tribunaux de la partie continentale et de la région administrative spéciale de Hong Kong dans les affaires civiles de mariage et de famille est entré en vigueur le 15 février 2022.
Toute demande de reconnaissance et d’exécution d’un jugement exécutoire rendu par un tribunal de la région administrative spéciale de Hong Kong dans une affaire civile de mariage et de famille doit être accompagnée des documents suivants: 1) une requête; 2° une copie du jugement, tamponnée par le Tribunal qui a rendu le jugement exécutoire; 3° un certificat délivré par le Tribunal qui a rendu le jugement exécutoire attestant qu’il s’agit d’un jugement exécutoire dans une affaire civile de mariage et de famille en vertu du présent arrangement; 4) Si le jugement est rendu par défaut, les pièces justificatives attestant que la partie a été légalement convoquée par le Tribunal sont présentées, sauf si le jugement l’indique clairement ou si la partie absente en fait la demande; (5) Photocopie notariée d’un document d’identité.
Toute demande d’approbation d’une lettre d’accord ou d’un mémorandum de dissolution du mariage en vertu des sections V et va de l’ordonnance sur la réforme de l’institution du mariage (chap. 178 de la législation de Hong Kong) doit être accompagnée des documents suivants: 1) la demande; 2° une photocopie notariée de l’acte de divorce ou une photocopie notariée de la lettre d’entente, du mémorandum; (3) Une photocopie notariée de la pièce d’identité.
Question XIII: quels sont les éléments à présenter pour demander la reconnaissance d’une décision de divorce rendue par un tribunal étranger?
Réponse: la demande de reconnaissance d’une décision de divorce rendue par un tribunal étranger en tant qu’affaire spéciale d’entraide judiciaire doit être présentée par le demandeur: 1) la demande doit être présentée en double exemplaire et doit indiquer les circonstances de base du demandeur et du défendeur, le Tribunal du pays où la décision a été rendue, le résultat de la décision, le délai, les circonstances dans lesquelles les parties ont été convoquées et poursuivies, les motifs de la demande et les demandes, ainsi que d’autres circonstances à préciser; (2) L’original notarié et certifié conforme du jugement de divorce du tribunal étranger et une traduction certifiée conforme en chinois. Si la décision d’un tribunal étranger est rendue par défaut, le demandeur doit présenter les pièces justificatives de la citation et de la comparution légitimes, ainsi qu’une traduction en chinois certifiée conforme, sauf si la décision l’indique déjà. Si la date à laquelle le jugement a pris effet n’est pas indiquée dans le jugement, un document attestant que le jugement a pris effet, délivré par le tribunal étranger qui a rendu le jugement, ainsi qu’une traduction en chinois de l’attestation d’infaillibilité, doivent être présentés; (3) « traduction certifiée conforme en chinois », qui peut être certifiée par: 1. Un notaire d’une autorité notariale étrangère, une attestation du Ministère des affaires étrangères ou d’un organisme autorisé du Ministère des affaires étrangères et une attestation de notre ambassade ou poste consulaire à l’étranger; 2. Notaire direct par les représentations diplomatiques et consulaires à l’étranger; 3. Notariat par les autorités notariales nationales.
Afin de réglementer davantage l’examen des dossiers par le tribunal de commerce international de Beijing, le tribunal de commerce international de Beijing, en combinaison avec la compétence judiciaire et la pratique du procès, a introduit cette question et réponse conformément au Code de procédure civile de la République populaire de Chine et à l’interprétation judiciaire pertinente de la Cour populaire suprême.
Question 1: la compétence du Tribunal de commerce international de Beijing?
Réponse: le tribunal de commerce international de Beijing est légalement compétent pour:
(i) les affaires commerciales impliquant Hong Kong, Macao et Taïwan qui font l’objet d’une action devant le tribunal municipal de Beijing et dont le montant est inférieur à 5 milliards de yuans sont jugées en première instance, à l’exception des affaires qui relèvent du Tribunal financier de Beijing;
(II) les affaires de contrôle judiciaire d’arbitrage étranger, impliquant Hong Kong et Macao relevant de la compétence du Tribunal municipal de Beijing, y compris la demande de confirmation de la validité de la Convention d’arbitrage, la demande d’annulation de la sentence arbitrale de notre institution d’arbitrage continentale, la demande de reconnaissance et d’exécution de la sentence arbitrale de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao, de la région de Taiwan, la demande de reconnaissance et d’exécution de la sentence arbitrale étrangère (à l’exclusion des litiges du travail, des affaires de sentence arbitrale de type financier);
Iii) Les demandes de reconnaissance et d’exécution de jugements civils de tribunaux étrangers relevant de la compétence du Tribunal municipal de Beijing; Demande de reconnaissance et d’exécution des décisions civiles des tribunaux de district de la région administrative spéciale de Hong Kong, de la région administrative spéciale de Macao et de Taïwan (à l’exclusion des affaires d’entraide judiciaire de type financier).
Question 2: comment les critères pour les affaires commerciales impliquant des étrangers sont – ils déterminés?
Réponse: dans la pratique judiciaire, la question de savoir s’il s’agit d’une affaire étrangère est jugée principalement à partir de trois éléments: le sujet, l’objet et le contenu de la relation juridique en cause. En règle générale, les tribunaux populaires peuvent juger une affaire civile étrangère dans l’une des situations suivantes:
1. L’une des Parties ou les deux sont des étrangers, des apatrides, des entreprises ou des organisations étrangères;
2. Si l’une des Parties ou les deux ont leur résidence habituelle en dehors du territoire de la République populaire de Chine;
3. L’objet est hors du domaine de la République populaire de Chine;
Les faits juridiques qui créent, modifient ou détruisent les relations civiles se produisent en dehors du territoire de la République populaire de Chine;
5. Autres situations pouvant être qualifiées d’affaires civiles étrangères.
Les tribunaux populaires, qui examinent les affaires civiles concernant Hong Kong, la région administrative spéciale de Macao et la région de Taiwan, peuvent se référer aux dispositions spéciales applicables aux procédures civiles étrangères.
Après avoir déterminé s’il s’agit d’une affaire étrangère, il est également nécessaire de déterminer si l’affaire est une affaire commerciale. Conformément à la pratique judiciaire des tribunaux de Beijing, la portée des affaires commerciales est définie dans la circulaire de la Haute Cour populaire de Beijing sur la mise en œuvre des dispositions régissant la Division de La juridiction des affaires civiles et commerciales. Les affaires les plus courantes sont les litiges relatifs aux contrats d’emprunt, les litiges relatifs aux contrats de vente et d’achat, les litiges relatifs aux sociétés, etc.
Question 3: si le défendeur a son domicile dans notre domaine, comment déterminer que l’affaire relève de la compétence du Tribunal de commerce international de Beijing?
Réponse: lorsque l’accusé a son domicile sur notre territoire, les principes de la compétence judiciaire sont les suivants:
1) la Convention prévaut, c’est – à – dire que les parties à un contrat ou à un autre litige portant sur des droits de propriété peuvent, par convention écrite, choisir la juridiction des tribunaux populaires du lieu où le défendeur a son domicile, où le contrat a été exécuté, où le contrat a été conclu, où le demandeur a son domicile, où l’objet du litige est situé, etc., qui ont un lien réel avec le litige, sans violer les dispositions relatives à la juridiction hiérarchique et exclusive; Il est également possible de choisir par convention écrite la compétence des tribunaux étrangers du lieu du domicile du défendeur, du lieu d’exécution du contrat, du lieu de conclusion du contrat, du domicile du demandeur, du lieu de l’objet, du lieu du délit, etc., ayant un lien réel avec le litige;
2) en l’absence de convention entre les parties, l’action résultant d’un litige contractuel relève de la compétence du Tribunal populaire du domicile du défendeur ou du lieu d’exécution du contrat;
(3) Les actions résultant de litiges tels que la Constitution de la société, la confirmation de l’admissibilité des actionnaires, la distribution des bénéfices, la dissolution, etc., sont de la compétence du Tribunal populaire du lieu du domicile de la société.
Conformément aux principes de compétence énoncés ci – dessus, si le point de jonction de compétence est situé à Beijing, il est possible d’intenter une action devant le tribunal de commerce international de Beijing.
Question IV: comment la compétence de l’affaire est – elle déterminée si l’accusé n’a pas de domicile sur notre territoire?
Réponse: lorsque l’accusé n’a pas de domicile sur notre territoire, les principes de la compétence judiciaire sont les suivants:
1) la Convention prévaut, c’est – à – dire que les parties à un contrat ou à un autre litige portant sur des droits de propriété peuvent, par convention écrite, choisir la juridiction des tribunaux populaires du lieu où le défendeur a son domicile, où le contrat a été exécuté, où le contrat a été conclu, où le demandeur a son domicile, où l’objet du litige est situé, etc., qui ont un lien réel avec le litige, sans violer les dispositions relatives à la juridiction hiérarchique et exclusive; Il est également possible de choisir par convention écrite la compétence des tribunaux étrangers du lieu du domicile du défendeur, du lieu d’exécution du contrat, du lieu de conclusion du contrat, du domicile du demandeur, du lieu de l’objet, du lieu du délit, etc., ayant un lien réel avec le litige;
2) s’il n’existe pas de convention, une action intentée contre un défendeur qui n’a pas son domicile sur notre territoire en raison d’un litige contractuel ou d’un autre litige portant sur des droits de propriété peut relever de la compétence du Tribunal populaire du lieu de conclusion du contrat, du lieu d’exécution du contrat, du lieu où l’objet de l’action est situé, du lieu où l’objet de l’action peut être saisi, du lieu où l’objet de l’action est situé, du lieu où l’objet de l’action peut être saisi, du lieu où l’objet de l’action peut être saisi, du lieu où l’acte délictuel a été commis ou du lieu où l’organe représentatif a son domicile;
(3) Les actions résultant de litiges tels que la Constitution de la société, la confirmation de l’admissibilité des actionnaires, la distribution des bénéfices, la dissolution, etc., sont de la compétence du Tribunal populaire du lieu du domicile de la société.
Conformément aux principes de compétence énoncés ci – dessus, si le point de jonction de juridiction est situé à Beijing, il est possible d’intenter une action devant le tribunal de commerce international de Beijing.
Question V: quels sont les types de cas pour lesquels les tribunaux étrangers ne peuvent pas convenir de la compétence?
R: Conformément aux dispositions du Code de procédure civile, les affaires relevant de la compétence exclusive de nos tribunaux ne peuvent pas convenir de la compétence d’un tribunal étranger, notamment les litiges immobiliers, les litiges découlant d’opérations portuaires, les litiges patrimoniaux, les litiges découlant de l’exécution de contrats de coentreprise sino – étrangers dans notre pays, les contrats de coentreprise sino – étrangers, les contrats de coopération sino – étrangers, les contrats de coopération sino – étrangers en matière d’exploration et d’exploitation des ressources naturelles. Ces types d’affaires ne peuvent convenir de la compétence d’un tribunal étranger, mais peuvent convenir de l’arbitrage.
Question VI: demande de confirmation de la validité de la Convention d’arbitrage, conditions dans lesquelles les parties peuvent déposer une demande auprès du Tribunal de commerce international de Beijing?
Réponse: une demande de confirmation de la validité d’une convention d’arbitrage est soumise à la juridiction du Tribunal populaire intermédiaire ou du Tribunal populaire spécialisé du lieu de l’institution d’arbitrage convenue dans la Convention d’arbitrage, du lieu de conclusion de la Convention d’arbitrage, du lieu de résidence du demandeur, du lieu de résidence du défendeur.
Si l’un de ces lieux est situé à Beijing et que l’affaire comporte des éléments étrangers, le demandeur peut s’adresser au Tribunal de commerce international de Beijing.
Question VII: demande d’annulation d’une sentence arbitrale, conditions dans lesquelles les parties peuvent déposer une demande auprès du Tribunal commercial international de Beijing?
Réponse: les parties peuvent demander l’annulation de la sentence au tribunal populaire intermédiaire du Siège de la Commission d’arbitrage. Dans le cadre de la pratique judiciaire actuelle, les sentences arbitrales (autres que les affaires financières) rendues par la Commission chinoise d’arbitrage pour l’économie et le commerce international et la Commission d’arbitrage de Beijing qui comportent des considérations étrangères peuvent être annulées par les parties devant le tribunal de commerce international de Beijing.
Question 8: dans le cas d’une demande de reconnaissance et d’exécution d’une sentence arbitrale étrangère ou d’une sentence arbitrale de la région de Hong Kong et Macao, quelles sont les conditions dans lesquelles les parties peuvent saisir le tribunal de commerce international de Beijing?
R: les parties qui demandent la reconnaissance et l’exécution d’une sentence arbitrale étrangère ou d’une sentence arbitrale de la région de Hong Kong et Macao peuvent s’adresser au tribunal populaire intermédiaire du lieu de résidence de l’exécuté ou du lieu où se trouvent ses biens, de sorte que si le lieu de résidence de l’exécuté ou Le lieu où se trouvent ses biens se trouve à Beijing, le demandeur peut s’adresser au Tribunal de commerce international de Beijing.
Question IX: demande de reconnaissance et d’exécution d’un jugement, d’une décision d’un tribunal étranger, conditions dans lesquelles les parties peuvent déposer une demande auprès du Tribunal de commerce international de Beijing?
Réponse: une partie qui demande la reconnaissance et l’exécution d’un jugement ou d’une décision d’un tribunal étranger en matière civile peut s’adresser au tribunal populaire intermédiaire du lieu où le défendeur a son domicile, sa résidence habituelle ou ses biens. Par conséquent, si le point de jonction de juridiction susmentionné est à Beijing, le demandeur peut déposer une demande auprès du Tribunal de commerce international de Beijing.
Question X: conditions dans lesquelles les parties peuvent déposer une demande auprès du Tribunal de commerce international de Beijing pour obtenir la reconnaissance et l’exécution d’un jugement, d’une décision et d’une décision en vigueur dans la région de Hong Kong et Macao?
Réponse: une partie qui demande la reconnaissance et l’exécution d’une décision en matière civile et commerciale conformément aux dispositions de la loi sur les arrangements de la Cour populaire suprême concernant la reconnaissance mutuelle et l’exécution des décisions en matière civile et commerciale rendues par les tribunaux de la partie continentale et de la région administrative spéciale de Hong Kong et sur les arrangements de la Cour populaire suprême concernant la reconnaissance mutuelle et l’exécution des décisions en matière civile dans les affaires de mariage et de famille par les tribunaux de la partie continentale et de la région administrative spéciale de Hong Kong a saisi le tribunal populaire intermédiaire du lieu où le défendeur a son domicile, sa résidence habituelle ou ses biens
Les parties qui demandent la reconnaissance et l’exécution d’une décision en matière civile et commerciale conformément aux dispositions de l’Arrangement de la Cour populaire suprême sur la reconnaissance mutuelle et l’exécution des décisions en matière civile et commerciale entre la partie continentale et la région administrative spéciale de Macao peuvent saisir le tribunal populaire intermédiaire du lieu où le défendeur a son domicile, sa résidence habituelle ou ses biens;
Une partie qui demande la reconnaissance et l’exécution d’un jugement civil conformément aux dispositions de la Cour populaire suprême sur la reconnaissance et l’exécution des jugements civils des tribunaux de district de Taiwan peut saisir le tribunal populaire intermédiaire ou le tribunal populaire spécialisé du lieu de résidence, du lieu de résidence habituelle ou du lieu de résidence, du lieu de résidence habituelle ou du lieu de résidence du défendeur.
Par conséquent, si le point de jonction de juridiction susmentionné est à Beijing, le demandeur peut déposer une demande auprès du Tribunal de commerce international de Beijing.
No.2339 fanfa JingGao [2023]
Premier, deuxième, troisième et quatrième tribunaux populaires intermédiaires de la Ville, Tribunal de la propriété intellectuelle de Beijing, Tribunal financier de Beijing; Tribunal Internet de Beijing, tribunaux populaires de district; Sections de la Haute Cour populaire municipale:
Afin de mettre en œuvre les dispositions de la Cour populaire suprême sur certaines questions relatives à la juridiction des affaires civiles et commerciales étrangères (loi d’interprétation [2022] 18), d’optimiser les mécanismes de juridiction des affaires étrangères, d’améliorer la qualité des affaires étrangères devant les tribunaux de Beijing et d’améliorer les services pour garantir Le développement de la capitale dans une nouvelle ère, adoptées par le Comité du procès de la Haute Cour populaire municipale, la répartition des tâches entre certaines affaires étrangères a été ajustée comme suit:
I. les affaires commerciales étrangères relevant de la compétence du Tribunal de Pékin, les affaires civiles étrangères relevant de la compétence du Tribunal de Pékin, ainsi que les affaires civiles et commerciales relatives à l’établissement, à l’apport, à la confirmation de l’admissibilité des actionnaires, à la distribution des bénéfices, à la fusion, à la scission, à la dissolution, etc., et les affaires civiles et commerciales dans lesquelles une partie est une WFOE:
(i) Les tribunaux populaires de base sont compétents pour les affaires civiles et commerciales étrangères en première instance, à moins que la loi ou l’interprétation judiciaire n’en dispose autrement.
Ii) Le quatrième tribunal populaire intermédiaire de la ville de Beijing a compétence centralisée sur les affaires civiles et commerciales étrangères suivantes en première instance qui relèvent de la compétence du Tribunal populaire intermédiaire de la ville:
(1) les affaires civiles et commerciales impliquant des étrangers dont l’objet du litige est supérieur à 40 millions de RMB (y compris le montant correspondant);
2) les affaires civiles et commerciales étrangères complexes ou comportant un grand nombre de parties;
3° Les autres affaires civiles et commerciales étrangères ayant une incidence importante dans la cité;
(4) Si l’interprétation juridique et judiciaire en dispose autrement en ce qui concerne la compétence des tribunaux populaires intermédiaires en première instance dans les affaires civiles et commerciales étrangères, elle est régie par les dispositions pertinentes.
(III) Le tribunal populaire supérieur municipal est compétent pour les affaires civiles et commerciales étrangères de première instance d’un montant supérieur à 5 milliards de RMB (y compris le montant correspondant) qui font l’objet de la procédure ou qui ont une incidence significative sur le territoire.
Les affaires civiles et commerciales étrangères visées à l’article premier de la présente notification sont jugées en première instance par les tribunaux de base de Beijing, et les affaires en appel sont soumises à la juridiction centralisée du quatrième tribunal populaire intermédiaire de la ville de Beijing, à moins que la loi et l’interprétation judiciaire n’en disposent autrement.
Iii. Les affaires relatives à la préservation et à l’exécution des arbitrages étrangers relevant de la compétence des tribunaux de Beijing relèvent de la compétence centralisée du quatrième tribunal populaire intermédiaire de la ville de Beijing.
Iv. Les affaires administratives étrangères relevant du Tribunal de Beijing relèvent de la compétence centralisée du quatrième tribunal populaire intermédiaire de Beijing.
V. Les litiges en matière de propriété intellectuelle, les litiges en matière d’indemnisation des dommages écologiques et environnementaux, les litiges civils d’intérêt public relatifs à l’environnement, les litiges en matière de liquidation d’insolvabilité et autres litiges régis par ailleurs par l’interprétation judiciaire ne s’appliquent pas au présent avis. Les demandes de reconnaissance et d’exécution des décisions des tribunaux étrangers, les affaires de contrôle judiciaire d’arbitrage étranger, les affaires de litige civil d’intérêt public concernant l’environnement extérieur, etc., qui ont été centralisées par le quatrième tribunal populaire intermédiaire de la ville de Beijing, continuent d’être centralisées par la Cour. Les différents types d’affaires financières étrangères relevant de la compétence du Tribunal financier de Beijing continuent d’être soumises à la juridiction du Tribunal financier de Beijing, conformément aux dispositions de la Cour populaire suprême concernant la compétence des affaires du Tribunal financier de Beijing.
Vi. Les affaires de préservation et d’exécution en matière civile et commerciale, administrative et arbitrale concernant Hong Kong, la région administrative spéciale de Macao et les territoires de Taiwan, par référence à l’application de la présente notification.
La présente notification entrera en vigueur le 1er janvier 2024 et, si les parties ont déposé une demande d’ouverture de procédure auprès du Tribunal avant le 1er janvier 2024, l’examen, l’audition et l’exécution se poursuivront devant le Tribunal récepteur initial. Concernant le tribunal compétent pour les affaires de deuxième instance visées par la présente notification, déterminé en fonction de la date à laquelle les parties ont déposé leur mémoire d’appel, la date à laquelle les parties ont déposé leur mémoire d’appel étant postérieure au 1er janvier 2024, sous la juridiction du quatrième tribunal populaire intermédiaire de la ville de Beijing; Soumis avant le 1er janvier 2024, il relève de la juridiction du Tribunal populaire intermédiaire de la juridiction initiale. Les avis et les règlements publiés antérieurement par la Chambre qui sont incompatibles avec le présent avis prévalent.
Tribunal populaire supérieur de Beijing
29 décembre 2003
(adopté le 16 août 2022 lors de la 1872e séance de la Commission de première instance de la Cour populaire suprême, en vigueur à compter du 1er janvier 2023)
Afin de protéger les droits et intérêts légitimes des Parties chinoises et étrangères conformément à la loi, de faciliter les procédures entre les parties et d’améliorer encore la qualité et l’efficacité des procès civils et commerciaux étrangers, cette disposition a été établie conformément aux dispositions du Code de procédure civile de la République populaire de Chine et en combinaison avec La pratique du procès.
Article premier les tribunaux populaires de base sont compétents pour les affaires civiles et commerciales étrangères en première instance, sauf si la loi et l’interprétation judiciaire en disposent autrement.
Article 2: le tribunal populaire intermédiaire est compétent en première instance pour les affaires civiles et commerciales étrangères suivantes:
(i) les affaires civiles et commerciales étrangères qui font l’objet d’un litige.
Les tribunaux populaires intermédiaires des districts de Pékin, Tianjin, Shanghai, Jiangsu, Zhejiang, Fujian, Shandong, Guangdong et Chongqing, qui régissent les affaires civiles et commerciales impliquant des étrangers d’un montant supérieur à 40 millions de RMB (y compris le nombre réel) faisant l’objet du litige;
Hebei, Shanxi, Mongolie intérieure, Liaoning, Jilin, Heilongjiang, Anhui, Jiangxi, Henan, Hubei, Hunan, Guangxi, Hainan, Sichuan, Guizhou, Yunnan, Tibet, Shaanxi, Gansu, Qinghai, Ningxia, tribunaux populaires intermédiaires du district du Xinjiang, divers théâtres d’opérations de l’APL, tribunaux militaires généraux, tribunaux populaires intermédiaires relevant de la branche du corps de production et de construction du Tribunal populaire supérieur de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, tribunaux populaires intermédiaires relevant de la Division du corps de construction du district de production du Xinjiang, qui régissent les affaires civiles et commerciales étrangères d’un montant supérieur à 20 millions de yuans (y compris le Montant du litige).
Ii) les affaires civiles et commerciales étrangères dont les circonstances sont complexes ou dans lesquelles il y a un grand nombre de parties.
(III) d’autres affaires civiles et commerciales étrangères ayant un impact significatif dans la juridiction.
L’interprétation juridique et judiciaire prévoit que les tribunaux populaires intermédiaires sont compétents en première instance pour les affaires civiles et commerciales étrangères, conformément aux dispositions pertinentes.
Article 3 la Haute Cour populaire est compétente pour les litiges d’un montant supérieur à 5 milliards de RMB (y compris le montant) ou d’autres affaires civiles et commerciales étrangères de première instance ayant une incidence significative sur le territoire.
Article 4: la Haute Cour populaire, si elle le juge nécessaire compte tenu de la situation de fait dans le District, peut, avec l’approbation de la Cour populaire suprême, désigner un ou plusieurs tribunaux populaires de base et tribunaux populaires intermédiaires pour exercer une compétence centralisée interrégionale sur les affaires civiles et commerciales étrangères de première instance, Conformément aux articles 1 et 2 de la présente disposition, respectivement.
En vertu du paragraphe précédent, lorsqu’une juridiction centralisée interrégionale est mise en place, la Haute Cour populaire doit faire connaître à la société, en temps utile, la juridiction correspondante des tribunaux populaires de base et des tribunaux populaires intermédiaires.
Article 5 les affaires étrangères en matière civile et commerciale sont jugées par des tribunaux spécialisés ou des Tribunaux collégiaux.
Article 6 les litiges commerciaux maritimes étrangers, les litiges de propriété intellectuelle étrangers, les litiges relatifs à l’indemnisation des dommages écologiques et environnementaux étrangers et les litiges civils d’intérêt public relatifs à l’environnement étrangers ne s’appliquent pas à la présente disposition.
Article VII Application de cette disposition par référence aux affaires civiles et commerciales concernant Hong Kong, la région administrative spéciale de Macao et la région de Taiwan.
Article 8 la présente disposition entre en vigueur le 1er janvier 2023. Cette disposition s’applique aux cas admis après son entrée en vigueur.
Article IX les interprétations judiciaires précédemment émises par cette chambre qui sont incompatibles avec la présente disposition prévalent.
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